Char Renault FT 17
Fabriqué en 2012, il n'est pas comme les chars que j'ai faits précédemment car il est creux, le Panther est quasi massif avec une très grosse partie de bois autant dans la caisse que dans la tourelle, le Mark IV utilise aussi beaucoup de bois. Ce fut aussi un défi technique car c'est le premier véhicule que j'ai fait où j'utilise un maximum de zinc soudé à l'étain, je ne savais pas le faire avant, mais il faut dire que j'utilisais un fer à souder trop peu puissant alors que là j'ai utilisé un chalumeau. A part cela il n'y a rien de vraiment innovant si ce n'est peut-être le fait que certaines parties sont rivetées avec des clous, en particulier la jonction caisse/châssis des roues que je ne pouvais souder car la pièce est en aluminium. La pièce emboutie pour la coupole ne fut pas évidente non plus et il y eut de nombreux ratés.
Considéré à raison comme l’un des meilleurs chars de la Première Guerre mondiale, le char Renault FT (son vrai nom) était innovant par sa tourelle pivotante à 360°, mais aussi par son moteur à l’arrière et des chenilles débordantes à l’avant, de plus il ne possédait pas vraiment de châssis mais une caisse blindée. Il existait une version équipée d’un canon de 37 mm (celle construite) et une équipée d'une mitrailleuse Hotchkiss Mle 1914. Sa queue de franchissement à l’arrière lui facilitait le franchissement de tranchées. Il fut exporté dans de nombreux pays après-guerre et même fabriqué sous licence par les Etats-Unis. Il servit aussi en France et en Pologne durant la Seconde Guerre mondiale bien qu’il soit complètement dépassé.
Considéré à raison comme l’un des meilleurs chars de la Première Guerre mondiale, le char Renault FT (son vrai nom) était innovant par sa tourelle pivotante à 360°, mais aussi par son moteur à l’arrière et des chenilles débordantes à l’avant, de plus il ne possédait pas vraiment de châssis mais une caisse blindée. Il existait une version équipée d’un canon de 37 mm (celle construite) et une équipée d'une mitrailleuse Hotchkiss Mle 1914. Sa queue de franchissement à l’arrière lui facilitait le franchissement de tranchées. Il fut exporté dans de nombreux pays après-guerre et même fabriqué sous licence par les Etats-Unis. Il servit aussi en France et en Pologne durant la Seconde Guerre mondiale bien qu’il soit complètement dépassé.